Temple Ta Som
Le Ta Som a été assimilé par certains spécialistes au Gaurashrigajaratna (le «bijou de l’éléphant blanc heureux»), cité sur la stèle du Préah Khan comme lieu où siégeaient vingt-quatre divinités.
Le Ta Som, au pied de la digue est du baray Jayatataka, est accessible soit depuis le Mébon oriental, en parcourant 2,5 km vers le nord, soit depuis le Neak Pean, en parcourant 1,8 km vers Test.
Le Ta Som a été assimilé par certains spécialistes au Gaurashrigajaratna (le «bijou de l’éléphant blanc heureux»), cité sur la stèle du Préah Khan comme lieu où siégeaient vingt-quatre divinités.
Érigé à la fin du XIIe siècle, il s’agit d’une construction aux dimensions réduites, ce qui facilite la lisibilité.
Le troisième mur d’enceinte, de 240 x 200 m, en latérite, est un ajout postérieur. Ses créneaux abritaient autrefois des images du Bouddha. Son gopura oriental est célèbre pour les racines de ficus mort qui encadrent le visage de Lokesvara, le bodhisattva de la compassion auquel l’empereur Jayavarman VII aimait s’identifier. L’entrée s’effectue par l’ouest.
La deuxième enceinte en latérite est entourée d’un fossé avec deux gopura, dont celui de l’ouest est précédé d’une petite terrasse cruciforme. Après le gopura, en tournant à droite de la première enceinte, on aperçoit par terre un beau fronton représentant Lokesvara. Continuez en direction du côté méridional du temple pour entrer par le gopura sud. La première enceinte est constituée d’une galerie en latérite avec pavillons d’angle, porte et fenêtres en grès. Ces dernières se présentent sous la forme typique de l’époque, à savoir avec des rideaux partiellement baissés.
Les toits sont en berceau avec faîtes en pinacle. Sur le fronton méridional du gopura nord, une scène intéressante représente Lokesvara, aux pieds duquel quatre personnages sont en prière sur quatre lotus éclos d’une même tige.
Dans les angles sud-est et nord-est, on trouve deux «bibliothèques». La cella du prasat central, au plan en croix grecque, est ouverte aux quatre points cardinaux. Elle est pourvue de quatre vestibules, surmontée de quatre étages et terminée par une superbe fleur de lotus double. Dans le sud-ouest de la cour se trouve un pilier terminé par un pivot - visible dans d’autres temples de l’époque - dont la fonction n’a pas été à ce jour élucidée.
Le Ta Som a été assimilé par certains spécialistes au Gaurashrigajaratna (le «bijou de l’éléphant blanc heureux»), cité sur la stèle du Préah Khan comme lieu où siégeaient vingt-quatre divinités.
Érigé à la fin du XIIe siècle, il s’agit d’une construction aux dimensions réduites, ce qui facilite la lisibilité.
Le troisième mur d’enceinte, de 240 x 200 m, en latérite, est un ajout postérieur. Ses créneaux abritaient autrefois des images du Bouddha. Son gopura oriental est célèbre pour les racines de ficus mort qui encadrent le visage de Lokesvara, le bodhisattva de la compassion auquel l’empereur Jayavarman VII aimait s’identifier. L’entrée s’effectue par l’ouest.
La deuxième enceinte en latérite est entourée d’un fossé avec deux gopura, dont celui de l’ouest est précédé d’une petite terrasse cruciforme. Après le gopura, en tournant à droite de la première enceinte, on aperçoit par terre un beau fronton représentant Lokesvara. Continuez en direction du côté méridional du temple pour entrer par le gopura sud. La première enceinte est constituée d’une galerie en latérite avec pavillons d’angle, porte et fenêtres en grès. Ces dernières se présentent sous la forme typique de l’époque, à savoir avec des rideaux partiellement baissés.
Les toits sont en berceau avec faîtes en pinacle. Sur le fronton méridional du gopura nord, une scène intéressante représente Lokesvara, aux pieds duquel quatre personnages sont en prière sur quatre lotus éclos d’une même tige.
Dans les angles sud-est et nord-est, on trouve deux «bibliothèques». La cella du prasat central, au plan en croix grecque, est ouverte aux quatre points cardinaux. Elle est pourvue de quatre vestibules, surmontée de quatre étages et terminée par une superbe fleur de lotus double. Dans le sud-ouest de la cour se trouve un pilier terminé par un pivot - visible dans d’autres temples de l’époque - dont la fonction n’a pas été à ce jour élucidée.