Musée du palais royal
l’extérieur.
A l'entrée du parc, sur la gauche, une statue du roi Sisa Vong, rélique de elle qui se trouve à Vientiane, rappelle qui celui qui régna au moment de l'indépendance du pays fut l'artisan de la rééunification.
.Le bouddha d' Or se trouve dans la pièce à droite de du batiment, par rapport à l'entrée principale. elle est entourée de tambour en bronze pour la guerre et pour la pluie, ainsi que de defense d'éléphants sculptées et de paravents brodés par la reine.
La première salle du palais est celle de Protocole. Le trône du patriarche suprême est à l'avant plan, devant celui du roi pour rappeler que le chef religieux était le personnage le plus important du royaume. Dans les vitrines, beaucoup de vieilles statues de bouddha datant depuis 5-6 siècle sont exposées. Ces dernières proviennent de tous les temples et de monuments détruits dans les environs de Luang Prabang .
De magnifiques peintures de styles Art deco réalisée en 1930 par Alix de Fautereau, une artiste française décorent la salle de réceeption du roi, ces tableaux représentent des scènes de la vie quoitidiennet laotienne. Le plus beaux des ces tableaux est la scène du marché où les Hmong sont en noir, portant des paniers dans le dos, les Akas sont debout à droite et les Laos sont accoupis.
Pour les Laotiens, aucun trésor du patrimoine n'est précieux que que le Pha Bang , un bouddha d’or de 83 cm de hauteur et mesure de 83cm de hauteur auquel la ville doit son nom. Son arrivée en 1512 légitima la dynastie royale du Lane Xang en tant que souverains bouddhistes. Selon la légende, la statue aurait été coulée vers le Ier siècle au Sri Lanka, de style khmer, elle date plus probablement du XIVe siècle. Les Siamois I l’emportèrent à deux reprises en Thaïlande, en 1779 et 1827, puis le roi Mongkut (Rama IV) la restitua aux Laotiens en 1867.
Derrière la salle du Protocole, la salle du Trône, a été richement décorée en 1960 avec des motifs en mosaique de verre representant la vie quoitidienne et l'histoire du Laos. Le trône est en bois doré à la feuille. Le dernier roi, Sisavang Vathana, ne s'y serait jamais assi car il n'aurait jamais été couronné. C'est du moins ce que dit de l'histoire officielle. Juste dans cette salle, on trouve le trône plus petit, date depuis début du XXè siècle. Sur la droite, la salle contient aussi des vitrines où sont exposées des bouddhas en cristal de roche des XVè XVI siècles, qu'on trouve à l'intérieur de la Passtèque That Mak Mo, le trône du roi Sisavang Vong, de dimmension réduites, ainsi qu'un palanquin à éléphant datant depuis du XIXè siècle.