Voyage au Laos - Plaine des Jarres
Les jarres les plus petites ont été depuis longtemps dérobées par des collectionneurs, mais il reste environ 2 500 grandes jarres, des fragments et des couvercles - un miracle compte tenu des bombardements massifs qui pilonnèrent la région.
De gigantesques jarres en pierre, très anciennes et d’origine inconnue, éparpillées sur des centaines de kilomètres carrés autour de Phonsavan, donnent & la région son nom de "Plaine des Jarres” . On se perd en conjecture sur l'origine et la fonction des jarres, ces récipients de forme cylindrique et de taille variable. En fait, le secteur n’est pas plus plat que les vallées rizicoles de Muang Sing ou Luang Namtha, et la plupart des sites des curieuses jarres se tiennent sur des collines. Selon une légende, elles auraient été réalisées au VIe siècle pour fabriquer de grandes quantités d’alcool de riz afin de célébrer la victoire du héros thaï-lao Khun Jeuam sur des seigneurs cruels qui opprimaient la population. Une autre locale prétend que les jarres auraient été non pas creusées, mais moulées à partir d'un mélange de pierre écrasée, de canne de sucre et de peau de buffle, Elles auraient ensuite été cuites dans une grotte située sur l'un des sites, dont la voute est percée d'une sorte de cheminée.
. En réalité, les jarres ont été taillées dans de la pierre brute et les archéologues estiment qu’elles datent de l’âge du fer du Sud-Est asiatique (entre le VIe siècle av. J.-C. et 200). Les jarres les plus petites ont été depuis longtemps dérobées par des collectionneurs, mais il reste environ 2 500 grandes jarres, des fragments et des couvercles - un miracle compte tenu des bombardements massifs qui pilonnèrent la région.
Tout le mystère reside dans le fait que les jarres sont en calcaire
Les sites 1,2 et 3 constituent les bases de la plupart des circuits. Phakeo, qui regroupe trois sites secondaires étroitement liés et envahis par la végétation, n’est accessible que par un trek de 2 jours. Bien que la plaine des Jarres soit le principal centre d’intérêt touristique du nord-est du pays, même les principaux sites restent paisibles et déserts dans l’après-midi.
À voir
Les sites 2 et 3 rassemblent des jarres plus petites et en nombre moins important que le site 1, mais ne manquent pas de charme pour autant Ils se tiennent dans des cadres très différents et l’on passe par des villages typiques pour s’y rendre.
Site 1: Le plus vaste et le plus facile d'accès, regroupe 334 jarres ou fragments de jarres assez resserrés sur B deux versants criblés de cratères de bombes, fLa plus grande, Hai Jeuam, mesure plus de 250 m, pèse environ 6 tonnes et serait la coupe de la mythique victoire de Khun à Jeuam. Dans ce paysage désolé et vallonné, la vue sur l’aéroport de Phonsavan semble incongrue. Le site 2: s’étend sur deux crêtes séparées par une ravine pe J profonde qui sert de voie d’accès. Grimpant! sur 700 m depuis la billetterie, cette dernière! se transforme en bourbier glissant après la| pluie. Sur la gauche, dans un bois clairsemé,] remarquez l’arbre qui a poussé dans une urne en pierre fissurée. À droite, un autre ] groupe de jarres se dresse sur une butte herbeuse qui offre la vue sur des collines en terrasses, des rizières et des prés. L’endroit ne manque pas de charme. Choix restreint de ; boissons fraîches à la billetterie.
Site 3 : Le site 3 compte 150 jarres sur un joli versant boisé près de Ban Lat Khai. La route qui mène au village file vers l’est à côté d’un petit atelier de réparation de motos, juste avant Ban Sang Di (Ban Siang Dii). Pour rejoindre les jarres, empruntez une petite passerelle en bois, marché 10 minutes à travers les rizières et grimpez.
. En réalité, les jarres ont été taillées dans de la pierre brute et les archéologues estiment qu’elles datent de l’âge du fer du Sud-Est asiatique (entre le VIe siècle av. J.-C. et 200). Les jarres les plus petites ont été depuis longtemps dérobées par des collectionneurs, mais il reste environ 2 500 grandes jarres, des fragments et des couvercles - un miracle compte tenu des bombardements massifs qui pilonnèrent la région.
Tout le mystère reside dans le fait que les jarres sont en calcaire
Les sites 1,2 et 3 constituent les bases de la plupart des circuits. Phakeo, qui regroupe trois sites secondaires étroitement liés et envahis par la végétation, n’est accessible que par un trek de 2 jours. Bien que la plaine des Jarres soit le principal centre d’intérêt touristique du nord-est du pays, même les principaux sites restent paisibles et déserts dans l’après-midi.
À voir
Les sites 2 et 3 rassemblent des jarres plus petites et en nombre moins important que le site 1, mais ne manquent pas de charme pour autant Ils se tiennent dans des cadres très différents et l’on passe par des villages typiques pour s’y rendre.
Site 1: Le plus vaste et le plus facile d'accès, regroupe 334 jarres ou fragments de jarres assez resserrés sur B deux versants criblés de cratères de bombes, fLa plus grande, Hai Jeuam, mesure plus de 250 m, pèse environ 6 tonnes et serait la coupe de la mythique victoire de Khun à Jeuam. Dans ce paysage désolé et vallonné, la vue sur l’aéroport de Phonsavan semble incongrue. Le site 2: s’étend sur deux crêtes séparées par une ravine pe J profonde qui sert de voie d’accès. Grimpant! sur 700 m depuis la billetterie, cette dernière! se transforme en bourbier glissant après la| pluie. Sur la gauche, dans un bois clairsemé,] remarquez l’arbre qui a poussé dans une urne en pierre fissurée. À droite, un autre ] groupe de jarres se dresse sur une butte herbeuse qui offre la vue sur des collines en terrasses, des rizières et des prés. L’endroit ne manque pas de charme. Choix restreint de ; boissons fraîches à la billetterie.
Site 3 : Le site 3 compte 150 jarres sur un joli versant boisé près de Ban Lat Khai. La route qui mène au village file vers l’est à côté d’un petit atelier de réparation de motos, juste avant Ban Sang Di (Ban Siang Dii). Pour rejoindre les jarres, empruntez une petite passerelle en bois, marché 10 minutes à travers les rizières et grimpez.