Chau say tévoda
Le temple est entouré d’une unique enceinte de 50 x 40 m, dont il ne subsiste que la base en latérite. Des quatre gopura, celui de l’est est le plus spectaculaire, avec son corps central à cinq salles, flanqué de deux entrées latérales.
On peut se rendre au Chau Say Tévoda en traversant Angkor Thom et en sortant par la porte de la Victoire ; en poursuivant sur 500 m environ, on le trouve sur la droite, en face du Thommanon. Édifié par Suryavarman II ou par l’un de ses dignitaires, on y accédait probablement par le fleuve, le Siem Réap, auquel le relie une large avenue bordée de stèles débouchant sur une terrasse cruciforme, elle-même raccordée à un passage sur pilotis qui, après un autre élargissement, atteint le gopura oriental.
Le temple est entouré d’une unique enceinte de 50 x 40 m, dont il ne subsiste que la base en latérite. Des quatre gopura, celui de l’est est le plus spectaculaire, avec son corps central à cinq salles, flanqué de deux entrées latérales. Parmi les frontons inspirés du cycle épique du Ramayana se distingue celui qui surmonte l’entrée sud, évoquant la lutte entre Sugriva, le roi des singes, et l’usurpateur Valin.
Un passage sur pilotis bordé de deux «bibliothèques» avec un portique d’entrée à l’ouest mène au temple, constitué de deux pièces caractérisant l’architecture des temples d’origine indienne : le mandapa, ou « pavillon des fidèles », et la cella.
Le mandapa, précédé d’un portique, possède deux entrées latérales plus récentes, accessibles par des escaliers ; la porte ouest donne accès à l’antarala, le portique-vestibule raccordé au prasat. Celui-ci possède une seule entrée à l’est et trois fausses portes précédées de portiques éclairés par des fenêtres à balustrade.
Le « Pont de pierre »( c’est la singnification de ce nom) se trouve à gauche de la route qui mène de la porte de la Victoire au Ta Keo, là où l’on franchit le Siem Réap, dont le cours actuel est dévié vers la droite. Construit avec des vestiges de temples au XVe – XVIe siècle, il repose sur des piliers aux pierres empilées pour forme des arches aux fausses voutres étroites.
Un passage sur pilotis bordé de deux «bibliothèques» avec un portique d’entrée à l’ouest mène au temple, constitué de deux pièces caractérisant l’architecture des temples d’origine indienne : le mandapa, ou « pavillon des fidèles », et la cella.
Le mandapa, précédé d’un portique, possède deux entrées latérales plus récentes, accessibles par des escaliers ; la porte ouest donne accès à l’antarala, le portique-vestibule raccordé au prasat. Celui-ci possède une seule entrée à l’est et trois fausses portes précédées de portiques éclairés par des fenêtres à balustrade.
Le « Pont de pierre »( c’est la singnification de ce nom) se trouve à gauche de la route qui mène de la porte de la Victoire au Ta Keo, là où l’on franchit le Siem Réap, dont le cours actuel est dévié vers la droite. Construit avec des vestiges de temples au XVe – XVIe siècle, il repose sur des piliers aux pierres empilées pour forme des arches aux fausses voutres étroites.