Pagode But Thap
Cette pagode prend son nom comme Bút Tháp qui signifie « le tour en forme de pinceau », car dans sa fondation, elle comportait une tour-stupa octogonale, ou Nhạn Tháp « la tour des oies sauvages » ou Ninh Phúc « la paix et la bénédiction ».
La pagode Bút Tháp
Au bord de la rivière Đuống, dans l’ancienne citadelle de Luy Lâu, la pagode Bút Tháp se situe dans le berceau du bouddhisme au Vietnam. Cette pagode tire son nom d'une tour octogonale en pierre, qui, dans l'enceinte, rappelle la forme d'un pinceau.
L’histoire en 1037, la pagode a été renouvelée et agrandie sous l’empereur Trần Thánh Tông (1258-1278). Cette pagode prend son noms comme Bút Tháp qui signifie « le tour en forme de pinceau », car dans sa fondation, elle comportait une tour-stupa octogonale, ou Nhạn Tháp « la tour des oies sauvages » ou Ninh Phúc « la paix et la bénédiction ».
Trois moines supérieurs ont marqué l'histoire de la pagode Bút Tháp. Le premier est Huyền Quang au 13e siècle, qui fut promu au 1er rang du concours suprême, âgé de 20 ans. Il fit ériger la tour en forme de pierre de 9 étages et le moulin à prière. Le moine Huyền Quang est connu comme le troisième patriarche de l’école Trúc Lâm (qui signifie « forêt de bambous »), la première école de zen (monastère) des Vietnamiens. Le deuxième est Chuyết Chuyết qui y mourut en 1644, et son successeur, Minh Hạnh le bonze supérieur de la pagode de 1644 à 1659, qui fit construire la balustrade sculptée.
Restaurée environ de 10 fois, la pagode Bút Tháp actuelle est le chef-d’oeuvre de nature intacte, des anciennes sculptures originales.
L’architecture La pagode Bút Tháp se compose de huit édifices, dont six sont entourés par une même galerie pourtournante. À l’extérieur, il existe le portique à trois entrées (cổng tam quan), puis la tour du clocher (gác chuông) de plan carré à huit toits dont la cloche de bronze date de 1815. Et puis, on entre à la salle antérieure (nhà tiền đường), où se trouvent les deux gardiens de la Loi bouddhique (les Dharmapa), appelés Gardien du Bien et Gardien du Mal, qui sont bien connus de tous les Vietnamiens parce qu’ils les voient toujours aux même emplacements dans toutes les pagodes. Un annexe connecte cette partie à la salle de prière. Devant l’autel du fond, les bonzes lisent les prières en frappant sur un grelot en bois (mõ) et une cloche renversée en bronze (chuông đồng). Ensuite, on va la salle des autels principaux (nhà thượng điện) qui possède un trésor architectural d’environ de 70 statues sculptées en bois telle que celle du Génie du Sol, de Bodhidharmades, de Kim Đồng (l’enfant d’or), de Ngọc Nữ (la fille de jade), des trois générations (Tam Thế), de Manjushri (Văn Thù), des arhats, etc. Le Chef-d’oeuvre de la sculpture vietnamienne, la statue la plus célèbre est celle de Quanyin aux mille yeux et aux mille bras (Alalokistecvara ou la Déesse de Miséricorde ) date de 1656 qui symbolise à la fois la beauté et le sacré du bouddhisme. Elle mesure 2,5 m de haut sans piédestal. Les 42 grands bras en ronde-bosse partent toutes les épaules et les 958 petits bras forment un cycle de diamètre 2,2 m. Dans chaque main est sculpté un œil. Les 11 têtes symbolisent les qualités du bodhisattva et sa force à sauver les êtres. Les statues en pied qui ont merveilleusement été conservées ont servi des exemples communs pour des monuments bouddhiques.
L’architecture et la sculpture sur bois et sur granit de la pagode Bút Tháp sont aussi les exemples typiques du Vietnam. Il est très rare dans le delta du Tonkin qu’existe l’ancienne pagode restant intacte. La pagode Bút Tháp est une des destinations incontournables afin de découvrir la vie religieuse, la culture et l’art de sculpture vietnamiens au fil du temps dans votre voyage au Vietnam.
Au bord de la rivière Đuống, dans l’ancienne citadelle de Luy Lâu, la pagode Bút Tháp se situe dans le berceau du bouddhisme au Vietnam. Cette pagode tire son nom d'une tour octogonale en pierre, qui, dans l'enceinte, rappelle la forme d'un pinceau.
L’histoire en 1037, la pagode a été renouvelée et agrandie sous l’empereur Trần Thánh Tông (1258-1278). Cette pagode prend son noms comme Bút Tháp qui signifie « le tour en forme de pinceau », car dans sa fondation, elle comportait une tour-stupa octogonale, ou Nhạn Tháp « la tour des oies sauvages » ou Ninh Phúc « la paix et la bénédiction ».
Trois moines supérieurs ont marqué l'histoire de la pagode Bút Tháp. Le premier est Huyền Quang au 13e siècle, qui fut promu au 1er rang du concours suprême, âgé de 20 ans. Il fit ériger la tour en forme de pierre de 9 étages et le moulin à prière. Le moine Huyền Quang est connu comme le troisième patriarche de l’école Trúc Lâm (qui signifie « forêt de bambous »), la première école de zen (monastère) des Vietnamiens. Le deuxième est Chuyết Chuyết qui y mourut en 1644, et son successeur, Minh Hạnh le bonze supérieur de la pagode de 1644 à 1659, qui fit construire la balustrade sculptée.
Restaurée environ de 10 fois, la pagode Bút Tháp actuelle est le chef-d’oeuvre de nature intacte, des anciennes sculptures originales.
L’architecture La pagode Bút Tháp se compose de huit édifices, dont six sont entourés par une même galerie pourtournante. À l’extérieur, il existe le portique à trois entrées (cổng tam quan), puis la tour du clocher (gác chuông) de plan carré à huit toits dont la cloche de bronze date de 1815. Et puis, on entre à la salle antérieure (nhà tiền đường), où se trouvent les deux gardiens de la Loi bouddhique (les Dharmapa), appelés Gardien du Bien et Gardien du Mal, qui sont bien connus de tous les Vietnamiens parce qu’ils les voient toujours aux même emplacements dans toutes les pagodes. Un annexe connecte cette partie à la salle de prière. Devant l’autel du fond, les bonzes lisent les prières en frappant sur un grelot en bois (mõ) et une cloche renversée en bronze (chuông đồng). Ensuite, on va la salle des autels principaux (nhà thượng điện) qui possède un trésor architectural d’environ de 70 statues sculptées en bois telle que celle du Génie du Sol, de Bodhidharmades, de Kim Đồng (l’enfant d’or), de Ngọc Nữ (la fille de jade), des trois générations (Tam Thế), de Manjushri (Văn Thù), des arhats, etc. Le Chef-d’oeuvre de la sculpture vietnamienne, la statue la plus célèbre est celle de Quanyin aux mille yeux et aux mille bras (Alalokistecvara ou la Déesse de Miséricorde ) date de 1656 qui symbolise à la fois la beauté et le sacré du bouddhisme. Elle mesure 2,5 m de haut sans piédestal. Les 42 grands bras en ronde-bosse partent toutes les épaules et les 958 petits bras forment un cycle de diamètre 2,2 m. Dans chaque main est sculpté un œil. Les 11 têtes symbolisent les qualités du bodhisattva et sa force à sauver les êtres. Les statues en pied qui ont merveilleusement été conservées ont servi des exemples communs pour des monuments bouddhiques.
L’architecture et la sculpture sur bois et sur granit de la pagode Bút Tháp sont aussi les exemples typiques du Vietnam. Il est très rare dans le delta du Tonkin qu’existe l’ancienne pagode restant intacte. La pagode Bút Tháp est une des destinations incontournables afin de découvrir la vie religieuse, la culture et l’art de sculpture vietnamiens au fil du temps dans votre voyage au Vietnam.