Pagode Mia - Village ancien Duong Lam
À la différence de la pagode Thầy, la pagode Hương, la pagode Tây Phương, etc qui sont très bondées de gens, la pagode Mía a une beauté tranquille, simple mais majestueuse. Le village Đường Lâm et la pagode Mía sont un petit coin tranquille pour profiter du calme, et de la douceur de la vie
Située dans le village ancien Duong Lam, du district de Ba Vì, à environ 50 kilomètres à l’ouest de Hanoi, la pagode Mía porte son nom « Mía » signifiant « canne à sucre », végétal dont la culture est l’activité agricole principale dans cette région. Elle a aussi un nom littéraire – Sùng Nghiêm.
L’histoire
Selon l’ancienne stèle dans la pagode Mía, son porche d’entrée (cổng tam quan) daterait de 1621, puis Ngô Thị Ngọc Dung (1623-1657) qui était l'origine du canton Mía, était la femme du harem (phi tần) du maire du palais Trịnh Tráng (la dynastie Trịnh), elle a fait appel aux efforts du peuple afin de reconstruire la pagode Mía en 1632. En remerciament de son bienfait, on a proclamé Ngô Thị Ngọc Dung “Dieu la dame du canton Mía” et édifié un autel dans la pagode et un temple propre pour elle.
L’architecture
La pagode Mía se trouve dans l’ancien village de Đường Lâm. Elle contient des statues parmi les plus anciennes du Vietnam en terre cuite et fibres de cannes à sucre ou en bois de jacquier.
Cette pagode se compose de 5 édifices tels que le porche d’entrée (cổng tam quan), la salle antérieure (nhà bái đường), la salle sanctuaire (chính điện), la salle des autels principaux (nhà thượng điện) et la salle des moines (nhà tăng).
Tout d’abord, on passe sous le porche d’entrée, mais attention, le porche est bas alors vous êtes obligé de baisser la tête avec vénération. On trouve un banian géant de plus de 400 ans et un stupa Cửu Phẩm Liên Hoa de 13 mètres de haut, servant le culte loin de son pays natal aux sarira de Bouddha (les sarira n’existent pas ici).
Dans la salle antérieure, il existe une stèle de 1,6 mètre de haut, de 1,2 mètre de large reposant sur une tortue où est consignée la restauration en 1632 et à droit l’autel de la Princesse Liễu Hạnh.
La salle sanctuaire et la salle des autels principaux possèdent 107 statues en bois, 6 en bronze et 174 en terre cuite qui compte de 287. Les statues des arhats, des Vajrapani (Bát bộ Kim Cương) rassemblent à des chefs militaires avec le corps solide; le Bouddha ascète sur l’Himalaya, le Bouddha entrant dans le Nirvana sont finement sculptées, le corps émacié et le visage médiatif ; la Quanyin protectrice des enfants (Tống Tử Quan Âm) également appelée la madame Thị Kính est très vivante, sa mine est douce et généreuse, mais légèrement déprimée, elle tient un bambin potelé.
À la différence de la pagode Thầy, la pagode Hương, la pagode Tây Phương, etc qui sont très bondées de gens, la pagode Mía a une beauté tranquille, simple mais majestueuse. Le village Đường Lâm et la pagode Mía sont un petit coin tranquille pour profiter du calme, et de la douceur de la vie. N’oubliez pas de goûter des spécialités comme des bonbons à la cacahuète, du malt, du sésame et de la farine de riz gluant, ou le bánh tẻ (le pain de la pâte du riz ordinaire, du champignon noir).
L’histoire
Selon l’ancienne stèle dans la pagode Mía, son porche d’entrée (cổng tam quan) daterait de 1621, puis Ngô Thị Ngọc Dung (1623-1657) qui était l'origine du canton Mía, était la femme du harem (phi tần) du maire du palais Trịnh Tráng (la dynastie Trịnh), elle a fait appel aux efforts du peuple afin de reconstruire la pagode Mía en 1632. En remerciament de son bienfait, on a proclamé Ngô Thị Ngọc Dung “Dieu la dame du canton Mía” et édifié un autel dans la pagode et un temple propre pour elle.
L’architecture
La pagode Mía se trouve dans l’ancien village de Đường Lâm. Elle contient des statues parmi les plus anciennes du Vietnam en terre cuite et fibres de cannes à sucre ou en bois de jacquier.
Cette pagode se compose de 5 édifices tels que le porche d’entrée (cổng tam quan), la salle antérieure (nhà bái đường), la salle sanctuaire (chính điện), la salle des autels principaux (nhà thượng điện) et la salle des moines (nhà tăng).
Tout d’abord, on passe sous le porche d’entrée, mais attention, le porche est bas alors vous êtes obligé de baisser la tête avec vénération. On trouve un banian géant de plus de 400 ans et un stupa Cửu Phẩm Liên Hoa de 13 mètres de haut, servant le culte loin de son pays natal aux sarira de Bouddha (les sarira n’existent pas ici).
Dans la salle antérieure, il existe une stèle de 1,6 mètre de haut, de 1,2 mètre de large reposant sur une tortue où est consignée la restauration en 1632 et à droit l’autel de la Princesse Liễu Hạnh.
La salle sanctuaire et la salle des autels principaux possèdent 107 statues en bois, 6 en bronze et 174 en terre cuite qui compte de 287. Les statues des arhats, des Vajrapani (Bát bộ Kim Cương) rassemblent à des chefs militaires avec le corps solide; le Bouddha ascète sur l’Himalaya, le Bouddha entrant dans le Nirvana sont finement sculptées, le corps émacié et le visage médiatif ; la Quanyin protectrice des enfants (Tống Tử Quan Âm) également appelée la madame Thị Kính est très vivante, sa mine est douce et généreuse, mais légèrement déprimée, elle tient un bambin potelé.
À la différence de la pagode Thầy, la pagode Hương, la pagode Tây Phương, etc qui sont très bondées de gens, la pagode Mía a une beauté tranquille, simple mais majestueuse. Le village Đường Lâm et la pagode Mía sont un petit coin tranquille pour profiter du calme, et de la douceur de la vie. N’oubliez pas de goûter des spécialités comme des bonbons à la cacahuète, du malt, du sésame et de la farine de riz gluant, ou le bánh tẻ (le pain de la pâte du riz ordinaire, du champignon noir).