Pont japonais – symbole de Hoi An
Étant le symbole de Hoi An, le pont japonais remarque les périodes prospères de la ville portuaire depuis XVe siècle et le mélange culturel entre les Vietnamiens, les Chinois et les Japonais. Visitez Hoi An et le pont couvert japonais pour découvrir les monuments spéciaux et les histoires mystérieuses de cette région.
Enjambant la rivière de Thu Bon, le Pont Japonais est sans conteste le symbole de Hoi An et la première destination à visiter à Hoi An pour découvrir son charme exceptionnel.
Histoire
Hoi An s’est située sur les routes maritimes du commerce de la soie, alors à partir de XVe siècle, les riches marchands du Japon, de la Chine et de l’Europe ont y installé des comptoirs et des monuments distinctifs de leur culture.
Construit par les Japonais, alors le pont japonais portant plusieurs noms comme pont-pagode japonais, pont couvert japonais. Il sert le lien entre deux rues Nguyen Thi Minh Khai - Tran Phu et les quartiers habités par les communautés chinoises à l’est et japonaises à l’ouest.
La légende japonaise dit qu’un monstre marin appelé Namazu était si géant que sa tête était en Inde, le corps au Vietnam et la gueule au Japon. Ainsi, s'il s’est remué, des catastrophes telles que des inondations, des tremblements de terre auraient eu lieu au pays du Soleil. Alors, on a construit ce pont comme une épée imaginaire, qui a poignardé dans le dos du monstre pour l’empêcher de bouger et d’éviter les calamités de se produire avec les trois pays.
On a construit le pont en bois de sept travées en 1593, puis on a bâti un pagodon en 1653 sur le parapet du pont, d’où son nom pont-pagode ou pont pagode japonaise, pont couvert japonais.
En 1719, Seigneur Nguyen Phuc Chu a visité à Hoi An, il l’a donné un panneau laqué rouge et or, sculpté le motif des dragons à la bordure, avec trois caractères chinois « Lai Vien Kieu », c’est-à-dire " le pont pour accueillir des invités venus de loin", le Seigneur a encouragé les commerçants étrangers à faire des affaires à Hoi An.
Architecture
Mesurant 18 m de long et 3 m de large, le pont est le seul monument construit par les commerçants japonais existant à la vieille ville. En raison de troubles politiques, l'empereur du Japon a forcé des hommes d'affaires de ce pays à l'étranger à rentrer chez eux et interdit le commerce international, ainsi les Japonais ont quitté Hoi An depuis 1633. Le quartier japonais a été habité par les Vietnamiens et le pont a été géré par les Vietnamiens et les Chinois. Après les restaurations en 1817, 1865, 1915, 1986, il s’est inspiré de plus en plus l’architecture vietnamienne.
Ce monument comprend un pont couvert de tuiles de Yin-Yang, qui permet les gens de franchir de la rivière de Thu Bon, une branche de la rivière de Hoai, et sert au lieu de repos et de contempler le paysage de Hoi An. À l'exception les piles en brique et pierre, toute la structure du pont est construite en bois laqué.
À chaque extrémité du pont, on trouve deux autels avec les statues de bois laquées de couleur gris, deux chiens à l’est, deux signes à l’ouest, chacun porte un foulard rouge. Elles sont mentionnées dans les histoires mystérieuses de ce pont. Des gens croient que ces animaux représentent le temps de construction : le pont est mis en chantier dans l’année du Signe et inauguré dans l’année du Chien. Les autres affirment que le culte du signe et du chien peut apporter la paix et la prospérité au peuple. Dans la culture japonaise, le signe est l’un des animaux sacrés, avec la capacité de chasser les mauvais esprits. Le chien symbolise la bonne chance, la prospérité dans les croyances des Chinois. Avec les Vietnamiens, le chien peut voir et chasser les fantômes, le signe est capable de protéger l’homme et lutter contre les mauvais esprits. Avant d'entrer la pagode ou dans le 1e et le 15e jour du calendrier lunaire, on brûle les bâtons d’encens et offre les offrandes aux autels afin de prier pour la protection et la prospérité.
La deuxième partie de ce bâtiment est la pagode séparée avec le pont par une cloison et une porte en bois avec l’ancien panneau « Lai Vien Kieu » envoyé par le Seigneur Nguyen Phuc Chu. Comme les maisons traditionnelles à Hoi An, on trouve au-dessous le panneau deux « yeux de la porte » de bois en forme de cylindre, sculptés de quatre chrysanthèmes et le symbole Yin-Yang au centre. Quand on visite à l’intérieur de la pagode, on contemple parfois quelques touches japonaises telles que la toiture en tuile à faible pente, les piliers serrés, le pont courbé, qui agrémentent raffinement les motifs traditionnels du Vietnam tels que la sculpture du dragon, tuiles de Yin-Yang, etc.
La pagode n’est pas consacrée au culte du Bouddha.
La pagode au Vietnam dédie au Bouddha, le temple dédie aux génies ou aux héros nationaux. Le sanctuaire dans cet édifice est appelé la pagode comme l’habitude pendant des centaines d’années des habitants à Hoi An, pourtant il n’a pas aucun statue bouddhique, mais une statue de l’empereur du Nord (Trấn Võ Bắc Đế), le Dieu de la protection de la région, qui donne le bonheur aux gens, le voyage sain et sauf pour les bateaux. Il tient l'épée, ses pieds se posent sur le dos de la tortue, son corps est enroulé par un serpent, le cylindre au ci-dessous est peint les motifs de vague. À travers cette sculpture, on exprime le souhait de dompter les forces de la mer et de la rivière et de la vie tranquille et abondante.
Image distinctive
L’image du pont japonais apparaît à l'arrière du billet de 20 000 VND. Le 16 juillet, Google Doodle a montré l’image du Pont Japonais - le symbole de Hoi An sur la page d’accueil de Google pour honorer cette vieille ville.
Étant le symbole de Hoi An, le pont japonais remarque les périodes prospères de la ville portuaire depuis XVe siècle et le mélange culturel entre les Vietnamiens, les Chinois et les Japonais. Visitez Hoi An et le pont couvert japonais pour découvrir les monuments spéciaux et les histoires mystérieuses de cette région.
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Histoire
Construit par les Japonais, alors le pont japonais portant plusieurs noms comme pont-pagode japonais, pont couvert japonais. Il sert le lien entre deux rues Nguyen Thi Minh Khai - Tran Phu et les quartiers habités par les communautés chinoises à l’est et japonaises à l’ouest.
La légende japonaise dit qu’un monstre marin appelé Namazu était si géant que sa tête était en Inde, le corps au Vietnam et la gueule au Japon. Ainsi, s'il s’est remué, des catastrophes telles que des inondations, des tremblements de terre auraient eu lieu au pays du Soleil. Alors, on a construit ce pont comme une épée imaginaire, qui a poignardé dans le dos du monstre pour l’empêcher de bouger et d’éviter les calamités de se produire avec les trois pays.
On a construit le pont en bois de sept travées en 1593, puis on a bâti un pagodon en 1653 sur le parapet du pont, d’où son nom pont-pagode ou pont pagode japonaise, pont couvert japonais.
En 1719, Seigneur Nguyen Phuc Chu a visité à Hoi An, il l’a donné un panneau laqué rouge et or, sculpté le motif des dragons à la bordure, avec trois caractères chinois « Lai Vien Kieu », c’est-à-dire " le pont pour accueillir des invités venus de loin", le Seigneur a encouragé les commerçants étrangers à faire des affaires à Hoi An.
Architecture
Mesurant 18 m de long et 3 m de large, le pont est le seul monument construit par les commerçants japonais existant à la vieille ville. En raison de troubles politiques, l'empereur du Japon a forcé des hommes d'affaires de ce pays à l'étranger à rentrer chez eux et interdit le commerce international, ainsi les Japonais ont quitté Hoi An depuis 1633. Le quartier japonais a été habité par les Vietnamiens et le pont a été géré par les Vietnamiens et les Chinois. Après les restaurations en 1817, 1865, 1915, 1986, il s’est inspiré de plus en plus l’architecture vietnamienne.
À chaque extrémité du pont, on trouve deux autels avec les statues de bois laquées de couleur gris, deux chiens à l’est, deux signes à l’ouest, chacun porte un foulard rouge. Elles sont mentionnées dans les histoires mystérieuses de ce pont. Des gens croient que ces animaux représentent le temps de construction : le pont est mis en chantier dans l’année du Signe et inauguré dans l’année du Chien. Les autres affirment que le culte du signe et du chien peut apporter la paix et la prospérité au peuple. Dans la culture japonaise, le signe est l’un des animaux sacrés, avec la capacité de chasser les mauvais esprits. Le chien symbolise la bonne chance, la prospérité dans les croyances des Chinois. Avec les Vietnamiens, le chien peut voir et chasser les fantômes, le signe est capable de protéger l’homme et lutter contre les mauvais esprits. Avant d'entrer la pagode ou dans le 1e et le 15e jour du calendrier lunaire, on brûle les bâtons d’encens et offre les offrandes aux autels afin de prier pour la protection et la prospérité.
La deuxième partie de ce bâtiment est la pagode séparée avec le pont par une cloison et une porte en bois avec l’ancien panneau « Lai Vien Kieu » envoyé par le Seigneur Nguyen Phuc Chu. Comme les maisons traditionnelles à Hoi An, on trouve au-dessous le panneau deux « yeux de la porte » de bois en forme de cylindre, sculptés de quatre chrysanthèmes et le symbole Yin-Yang au centre. Quand on visite à l’intérieur de la pagode, on contemple parfois quelques touches japonaises telles que la toiture en tuile à faible pente, les piliers serrés, le pont courbé, qui agrémentent raffinement les motifs traditionnels du Vietnam tels que la sculpture du dragon, tuiles de Yin-Yang, etc.
La pagode n’est pas consacrée au culte du Bouddha.
La pagode au Vietnam dédie au Bouddha, le temple dédie aux génies ou aux héros nationaux. Le sanctuaire dans cet édifice est appelé la pagode comme l’habitude pendant des centaines d’années des habitants à Hoi An, pourtant il n’a pas aucun statue bouddhique, mais une statue de l’empereur du Nord (Trấn Võ Bắc Đế), le Dieu de la protection de la région, qui donne le bonheur aux gens, le voyage sain et sauf pour les bateaux. Il tient l'épée, ses pieds se posent sur le dos de la tortue, son corps est enroulé par un serpent, le cylindre au ci-dessous est peint les motifs de vague. À travers cette sculpture, on exprime le souhait de dompter les forces de la mer et de la rivière et de la vie tranquille et abondante.
Image distinctive
Étant le symbole de Hoi An, le pont japonais remarque les périodes prospères de la ville portuaire depuis XVe siècle et le mélange culturel entre les Vietnamiens, les Chinois et les Japonais. Visitez Hoi An et le pont couvert japonais pour découvrir les monuments spéciaux et les histoires mystérieuses de cette région.
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