La pagode de l'empereur de Jade
Le temple attire les fidèles, qui brulent des offrandes de papier dans la cour et des bâtons d’encens au santal sur des autels à l’intérieur.
La pagode de l’empereur de Jade Saigon
Edifiée par la communauté cantonaise de Saigon en 1909, la pagode de l’empereur de Jade est un temple taoiste surréel, qui abrite une singulière collection de statues sur bois de Saigon. Sa façade mauve caractéristique et ses tuiles vert jade suscitent de folleséperances que satisfait son contenu tout aussi fantasque. C’est un des plus beaux temples de la ville. Le temple attire les fidèles, qui brulent des offrandes de papier dans la cour et des bâtons d’encens au santal sur des autels à l’intérieur. Dehors, un bassin en forme de croissant regorge de tortues de tailles et de formes diverses.
Une seconde porte intérieure est flanquée de deux maximes accrochées à la gueule de chauves- souris sculptées. Les lourdes portes de bois sont ornées de gueriers taoistes souffant le feu par la bouche et les narines.
Dans la grande salle, les niches entre les colonnes sont encadrées d’une belle frise en bois dur luisant comme de l’ébène. Une débauche de personnages asiatique orne l’autel principal dédié à Ngoc Hoang,l’empereur de Jade. Ses acolytes barbus se penchent l’un vers l’autre dans une poition rendue posible parce qu’ils sont en papier mâché.
Dans un temple annexe, à gauche de l’entrée principale, les femmes prient pour avoir des enfants dans une niche dédiée à Kinh Hoa,une spécialiste de la maternité déifiée, flanquée d’une quantité de maris. Des deux côtés, d’innombrables statues de bébés escaladent les genoux, les cuisses et les manches de leurs fertiles mères de céramique. Après cette niche, Than Hoang règne sur une salle de tortures, flanqué de gardes en papier mâché peints en noir. Des panneaux sculptés décrivent différentes tourtures subies en châtiment dans le monde infernal. Tandis que les dix rois de l’enfer écrivent des maximes en haut, des diables livrent des humains aux flammes, leur coupent la tête et les empalent sur des séries de pointes.
De retour dans la salle principale, montez par l’escalier situé à droite dans une pièce dédiée à Quan Am. C’est là que l’on voit le mieux les pentes, les crêtes et les avancées du toit de tuiles ronde.
Edifiée par la communauté cantonaise de Saigon en 1909, la pagode de l’empereur de Jade est un temple taoiste surréel, qui abrite une singulière collection de statues sur bois de Saigon. Sa façade mauve caractéristique et ses tuiles vert jade suscitent de folleséperances que satisfait son contenu tout aussi fantasque. C’est un des plus beaux temples de la ville. Le temple attire les fidèles, qui brulent des offrandes de papier dans la cour et des bâtons d’encens au santal sur des autels à l’intérieur. Dehors, un bassin en forme de croissant regorge de tortues de tailles et de formes diverses.
Une seconde porte intérieure est flanquée de deux maximes accrochées à la gueule de chauves- souris sculptées. Les lourdes portes de bois sont ornées de gueriers taoistes souffant le feu par la bouche et les narines.
Dans la grande salle, les niches entre les colonnes sont encadrées d’une belle frise en bois dur luisant comme de l’ébène. Une débauche de personnages asiatique orne l’autel principal dédié à Ngoc Hoang,l’empereur de Jade. Ses acolytes barbus se penchent l’un vers l’autre dans une poition rendue posible parce qu’ils sont en papier mâché.
Dans un temple annexe, à gauche de l’entrée principale, les femmes prient pour avoir des enfants dans une niche dédiée à Kinh Hoa,une spécialiste de la maternité déifiée, flanquée d’une quantité de maris. Des deux côtés, d’innombrables statues de bébés escaladent les genoux, les cuisses et les manches de leurs fertiles mères de céramique. Après cette niche, Than Hoang règne sur une salle de tortures, flanqué de gardes en papier mâché peints en noir. Des panneaux sculptés décrivent différentes tourtures subies en châtiment dans le monde infernal. Tandis que les dix rois de l’enfer écrivent des maximes en haut, des diables livrent des humains aux flammes, leur coupent la tête et les empalent sur des séries de pointes.
De retour dans la salle principale, montez par l’escalier situé à droite dans une pièce dédiée à Quan Am. C’est là que l’on voit le mieux les pentes, les crêtes et les avancées du toit de tuiles ronde.