De My Tho à Vinh Long
Cité industrieuse et propère, My Tho, la '' belle jeune fille parfumé '' conserve d'élégantes maisons coloniales alignées le long de la rive, ainsi qu'un joli quartier chinois. Mais elle est surtout le point de départ d'une très agréable excursion dans les iles aux vergers, première immersion dans le décor exubérant du delta
My Tho et Ben Tre
Le Tien, un bras du Mékong sépare les villes de My Tho et de Ben Tre, à 70 kilomètres au sud- ouest de Hô Chi Minh-Ville. Les visiteurs y explorent les étroits bras d’eau boueux et les iles fertiles en bateaux, et visitent les ateliers artisanaux de sucreries. À Ben Tre, l’excentrique pavillon de la paix du « moine noix de coco » est extrêmement étonnant, tandis que la pagode Vinh Trang de My Tho offre une fusion de l’architecture occidentale et asiatique. La proximité de Hô Chi Minh -Ville garantit à cette région un flot constant de général en excursion en bateau
Les bateaux conduisent aux iles de la Licorne, du Dragon et de la Tortue, qui proposent les mêmes attractions (restaurants vergers et ateliers de sucreries), où les propriétaires vous attendent à la caisse enregistreuse. Autant que possible, dormez sur l’eau à My Tho.
Sur l’ile du Phénix, le fameux « moine noix de coco » un champoin du kitsch, a bâti son fantaisiste ensemble de temples dans les années 1960. Des dragons multicolores en béton s’enroulent autour de neuf colonnes, une pour chaque bras du Mékong. Un pont unissant deux tours élancées, une pour Hanoi et une pour Saigon, représente l’ espoir de paix du moine. Sur une autre tour, une capsule spatiale servait d’ascenseur pour atteindre le perchoir où il méditait.
La pagode Vinh Trang My Tho mérite de s’écarter un peu du fleuve. L’édifice date de 1851, ses grands ornements du début des années 1930. La façade offre un amalgame d’arcs romains, de ferronneries françaises, de tuiles japonaises et de calligraphie chinoise et gothique. À l’intérieur, le paravent sculpté de l’autel et les 18 arhats datent de 1907.
Vinh Long Au cœur du delta, Vinh Long occupe la section médiane d’une longue ile en forme de coin formée par les deux principaux bras du Mékong-le Tien et le Hau. La ville elle-mêmes manque d’attrait, mais elle offre une base commode pour explorer les bras d’eau. Le marché flottant de Cai Be peut se révéler décevant, mais les chenaux eux- mêmes rempliront vos espérances concernant la visite du delta.
En quittant la jetée jouxtant le bureau de Cuu Long Tourist, les bateaux empruntent une branche du Tien, le Co Chien, qui passe en amont sous le pont de My Thuan, dont le tablier de 30 mètres offre une vue stellaire du vaste delta. En empruntant le bras d’eau de Dong Phu, votre bateau longera l’amont de l’ile d’An Binh. Les pépinières et les vergers y prospèrent, et lest ruisseaux qui les irriguent donnent envie de se destoumer de l’itinéraire habituel. Ce bras est chargé de sampans et de barges, qui transportent des montagnes de riz non décortiqué entre des planches fixées à la coque pour maximiser le chargement. Les yeux peints à la proue des bateaux dissuadent les mauvais esprits des eaux. Après le marché de Dong Phu, on pénètre sur le bras principal du Tien et on atteint le village de Cai Be . Patates douces, oignons et autres produits sont suspendus à des perches verticales sur les sampans, pour signaler aux clients ce que vend chaque bateau. Les plus gros vendent aussi du bois de chauffage et des topiaires.
Cai Be elle- même n’est guère plus qu’une série de cabanes, de boutiques et de maisons délabrées d’où jaillit une forêt d’antennes de télévision, dominées par une église catholique. Des sentiers longent la rive plongent à angle droit à travers les vergorgeant de papayes, de longanes, de bananes et d’ananas.
En amont sur le bras de Cai Muoi, à An Binh, la pittoresque villa d’un Vietnamien fonctionnaire de l’administration coloniale offre un mélange d’architecture française et Vietnamienne, en associant les piliers de bois dur et les panneaux d’une maison traditionelle de l’intérieur aux fenêtres arrondies d’une façade à la française.
Le Tien, un bras du Mékong sépare les villes de My Tho et de Ben Tre, à 70 kilomètres au sud- ouest de Hô Chi Minh-Ville. Les visiteurs y explorent les étroits bras d’eau boueux et les iles fertiles en bateaux, et visitent les ateliers artisanaux de sucreries. À Ben Tre, l’excentrique pavillon de la paix du « moine noix de coco » est extrêmement étonnant, tandis que la pagode Vinh Trang de My Tho offre une fusion de l’architecture occidentale et asiatique. La proximité de Hô Chi Minh -Ville garantit à cette région un flot constant de général en excursion en bateau
Les bateaux conduisent aux iles de la Licorne, du Dragon et de la Tortue, qui proposent les mêmes attractions (restaurants vergers et ateliers de sucreries), où les propriétaires vous attendent à la caisse enregistreuse. Autant que possible, dormez sur l’eau à My Tho.
Sur l’ile du Phénix, le fameux « moine noix de coco » un champoin du kitsch, a bâti son fantaisiste ensemble de temples dans les années 1960. Des dragons multicolores en béton s’enroulent autour de neuf colonnes, une pour chaque bras du Mékong. Un pont unissant deux tours élancées, une pour Hanoi et une pour Saigon, représente l’ espoir de paix du moine. Sur une autre tour, une capsule spatiale servait d’ascenseur pour atteindre le perchoir où il méditait.
La pagode Vinh Trang My Tho mérite de s’écarter un peu du fleuve. L’édifice date de 1851, ses grands ornements du début des années 1930. La façade offre un amalgame d’arcs romains, de ferronneries françaises, de tuiles japonaises et de calligraphie chinoise et gothique. À l’intérieur, le paravent sculpté de l’autel et les 18 arhats datent de 1907.
Vinh Long Au cœur du delta, Vinh Long occupe la section médiane d’une longue ile en forme de coin formée par les deux principaux bras du Mékong-le Tien et le Hau. La ville elle-mêmes manque d’attrait, mais elle offre une base commode pour explorer les bras d’eau. Le marché flottant de Cai Be peut se révéler décevant, mais les chenaux eux- mêmes rempliront vos espérances concernant la visite du delta.
En quittant la jetée jouxtant le bureau de Cuu Long Tourist, les bateaux empruntent une branche du Tien, le Co Chien, qui passe en amont sous le pont de My Thuan, dont le tablier de 30 mètres offre une vue stellaire du vaste delta. En empruntant le bras d’eau de Dong Phu, votre bateau longera l’amont de l’ile d’An Binh. Les pépinières et les vergers y prospèrent, et lest ruisseaux qui les irriguent donnent envie de se destoumer de l’itinéraire habituel. Ce bras est chargé de sampans et de barges, qui transportent des montagnes de riz non décortiqué entre des planches fixées à la coque pour maximiser le chargement. Les yeux peints à la proue des bateaux dissuadent les mauvais esprits des eaux. Après le marché de Dong Phu, on pénètre sur le bras principal du Tien et on atteint le village de Cai Be . Patates douces, oignons et autres produits sont suspendus à des perches verticales sur les sampans, pour signaler aux clients ce que vend chaque bateau. Les plus gros vendent aussi du bois de chauffage et des topiaires.
Cai Be elle- même n’est guère plus qu’une série de cabanes, de boutiques et de maisons délabrées d’où jaillit une forêt d’antennes de télévision, dominées par une église catholique. Des sentiers longent la rive plongent à angle droit à travers les vergorgeant de papayes, de longanes, de bananes et d’ananas.
En amont sur le bras de Cai Muoi, à An Binh, la pittoresque villa d’un Vietnamien fonctionnaire de l’administration coloniale offre un mélange d’architecture française et Vietnamienne, en associant les piliers de bois dur et les panneaux d’une maison traditionelle de l’intérieur aux fenêtres arrondies d’une façade à la française.