Le complexe paysager Trang An
Le complexe mixte paysager Trang An est un spectaculaire paysage de pitons karstiques sillonné de vallées, pour certaines immergées, et encadré de falaises abruptes, presque verticales Ce dernier situant sur la rive méridionale du delta du fleuve Rouge couvre une superficie de 6.172ha dans les districts de Hoa Lu, Gia Vien, Nho Quan, le chef-lieu Tam Diep et la ville de Ninh Binh, à environ 90km au sud-est de Ha Noi. Le complexe est entouré d’une zone tampon de 6.268ha, comprenant principalement des champs et villages.
Tràng An a été officiellement inscrit par l’UNESCO sur sa liste du patrimoine mondial, lors de la 38e session du Comité du patrimoine mondial tenue du 15 au 25 juin 2014 à Doha (Qatar).
Ce complexe paysager de Tràng An contient trois zones protégées, y compris l'ancienne capitale de Hoa Lu, le complexe paysager Tràng An - Tam Coc - Bich Dong et la forêt usage spécial de Hoa Lu.
Tràng An comprend aussi Hoa Lu, l’ancienne capitale du Vietnam aux Xe et XIesiècles, ainsi que des temples, pagodes et paysages de rizières, des villages et lieux sacrés.
Tràng An compte 50 grottes reliant 30 petites vallées qui se succèdent sur environ 10 km du nord au sud. On passe de l’une à l’autre en barque, admirant à la lueur des torches de nombreuses stalactites et stalagmites dont les formes fantasques ont donné leur nom à la plupart d’entre elles.
Auparavant, la zone de Tràng An a été envahie, remanié par la mer à plusieurs reprises, mais elle est maintenant en plein essor sur la terre.
La longue période de tectonique géologique a créé des paysage pittoresque d’une beauté extraordinaire - un mélange de montagnes bornée de falaises qui dressent verticalement dans une forêt tropicale, entouré d’innombrables cuvettes et vallées creuses dont l’eau est claire et s’écoulant tranquillement, reliés à un multitude de cours d’eau et cavernes souterraines parmi desquels beaucoup sont navigables par sampans.
Dans les grottes les plus en altitude ont été trouvées des traces d’activités humaines datant de 30.000 ans. Elles illustrent l’occupation de ce massif par des chasseurs-cueilleurs et leur adaptation aux changements climatiques et environnementaux.
Paradis pour les amoureux de la nature, Tràng An est aussi un lieu de pèlerinage adepte du bouddhisme. Bái Ðính est le complexe de pagodes le plus vaste du Vietnam et l’un des plus importants centres du bouddhisme du pays et même de l’Asie du Sud-Est. S’étendant sur plus de 2.000 ha au nord-est de cette province, il est divisé en différentes zones fonctionnelles : zone centrale, zone touristique de cavernes, zone des pagodes de Bái Ðính et zone de services touristiques.
Cette région ci est parfois surnommée la «baie de Ha Long terrestre». Le seul bruit d’origine humaine qui vient rompre le silence des montagnes est celui des rames.
Ses écosystèmes uniques abritent plusieurs dizaines d’espèces végétales et animales endémiques. Près de 580 plantes, dont 10 inscrites au Livre Rouge du Vietnam, ont été recensées. Parmi la faune, l’espèce la plus emblématique est le langur de Delacour, une espèce de primate en danger critique de disparition, endémique du Vietnam (il n’en resterait que 250 dans la nature
Tràng An comprend aussi Hoa Lu, l’ancienne capitale du Vietnam aux Xe et XIesiècles, ainsi que des temples, pagodes et paysages de rizières, des villages et lieux sacrés.
Tràng An compte 50 grottes reliant 30 petites vallées qui se succèdent sur environ 10 km du nord au sud. On passe de l’une à l’autre en barque, admirant à la lueur des torches de nombreuses stalactites et stalagmites dont les formes fantasques ont donné leur nom à la plupart d’entre elles.
Auparavant, la zone de Tràng An a été envahie, remanié par la mer à plusieurs reprises, mais elle est maintenant en plein essor sur la terre.
La longue période de tectonique géologique a créé des paysage pittoresque d’une beauté extraordinaire - un mélange de montagnes bornée de falaises qui dressent verticalement dans une forêt tropicale, entouré d’innombrables cuvettes et vallées creuses dont l’eau est claire et s’écoulant tranquillement, reliés à un multitude de cours d’eau et cavernes souterraines parmi desquels beaucoup sont navigables par sampans.
Dans les grottes les plus en altitude ont été trouvées des traces d’activités humaines datant de 30.000 ans. Elles illustrent l’occupation de ce massif par des chasseurs-cueilleurs et leur adaptation aux changements climatiques et environnementaux.
Paradis pour les amoureux de la nature, Tràng An est aussi un lieu de pèlerinage adepte du bouddhisme. Bái Ðính est le complexe de pagodes le plus vaste du Vietnam et l’un des plus importants centres du bouddhisme du pays et même de l’Asie du Sud-Est. S’étendant sur plus de 2.000 ha au nord-est de cette province, il est divisé en différentes zones fonctionnelles : zone centrale, zone touristique de cavernes, zone des pagodes de Bái Ðính et zone de services touristiques.
Cette région ci est parfois surnommée la «baie de Ha Long terrestre». Le seul bruit d’origine humaine qui vient rompre le silence des montagnes est celui des rames.
Ses écosystèmes uniques abritent plusieurs dizaines d’espèces végétales et animales endémiques. Près de 580 plantes, dont 10 inscrites au Livre Rouge du Vietnam, ont été recensées. Parmi la faune, l’espèce la plus emblématique est le langur de Delacour, une espèce de primate en danger critique de disparition, endémique du Vietnam (il n’en resterait que 250 dans la nature