Les Thai
Les Thái habitent dans la maison sur pilotis en bambou ou en bois entourée de claies ou de planches. Le toit de la maison des Thái Noirs affecte la forme d’une carapace de tortue (tụp cống), avec des antéfixes appelées khau cút qui sont rapportés aux deux extrémités du faîtage. La celle des Thái Blancs sont rectangulaires et agrémentées d’un balcon sur la façade ou tout autour. Dans chaque maison, on a deux cuisines, l’un pour accueillir des visiteurs et pour se réchauffer, l’autre pour préparer des repas.
Les Thái sont appellés par des noms différents comme Tày Thanh, Man Thanh, Tay Dọ, Thổ, Hàng Tổng, Man Thanh, Tày Đăm, Tày Khao, Nhại, Hàng Tổng, Pu Thay, Thổ Đà Bắc.Leur population est estimée de 1.550.423 (en 2009), occupe le troisième rang au Vietnam. Ils se divisent en deux groupes locaux tels que Tay đăm (les Thái noirs) et Tay Đón ou Khao (les Thái blancs), vivent principalement dans les provinces de Lai Châu, Điện Biên, Sơn La, Hoà Bình, Yên Bái, Nghệ An, Thanh Hoá et un groupe émigré aux Montagnes centrales. Les Thái parlent la langue du groupe Tay-Thai, de la famille Tai-Kadai.
Vie matérielle
Les Thái habitent dans la maison sur pilotis en bambou ou en bois entourée de claies ou de planches. Le toit de la maison des Thái Noirs affecte la forme d’une carapace de tortue (tụp cống), avec des antéfixes appelées khau cút qui sont rapportés aux deux extrémités du faîtage. La celle des Thái Blancs sont rectangulaires et agrémentées d’un balcon sur la façade ou tout autour. Dans chaque maison, on a deux cuisines, l’un pour accueillir des visiteurs et pour se réchauffer, l’autre pour préparer des repas.
Les Thái ont jadis cultivé le riz inondé avec un système hydraulique achevé pour arroser tous les champs. Le riz non-gluant fournit la nourriture principale mais le riz gluant est l'alimentation traditionnelle et indispensable dans les offrandes rituelles. On cultive aussi des cotonniers, des plants tinctoriaux et des mûriers afin de produire des tissus traditionnels et tout à fait naturels. Les Thái pratiquent la culture du riz, du maïs, de la patate douce, de la cucurbitacée,… sur les champs en terrasse. A côté de l’agriculture, les Thái sont bien connus pour des artisanats, notamment le tissage celui que les femmes Thái sont obligées d’être expertes.
Les femmes Thái habillent une jupe longue, noire, une courte veste fermée sur le devant par un rangé de boutons en argent de forme de papillon, d’araingnée, de cigale,… Elles portent aussi un turban teint indigo puis brodé qui présente la culture spirituelle des Thái et l’habileté de la femme. Les vêtements des hommes sont plus simples que ceux des femmes, y compris une veste (courte ou longue), un pantalon, une ceinture et un turban.
Vie familiale et sociale
Les Thái regroupent dans les bản (village) de 40-50 foyers, celui qui se situe près des ruisseaux et des champs rizières. Chacun a trois relations principales dans leur lignage : Ai Nọong (des frères), Lung tá (famille alliée), Nhinh xao (des beaux-fils).
La famille des Thái est patriarcale mais matrilocale. Le mariage traditionnel se compose de deux rituels principaux tels que đong hưn (le marié habite chez la mariée) et đong lông (les mariés et leurs enfants habitent chez le marié). Premièrement, le conjoint vit avec la famille de sa femme après les fiançailles, pendant de 8 à 12 ans et il prouve sa dignité et sa compétence de travail. Deuxièmement, deux familles organisent la noce mais cet homme peut « voler sa femme » pour diminuer des offrandes ou des rites.
Les funérailles des Thái en général sont bien compliquées en passant des variés rites. Tout d’abord, on reconduit l’âme du mort à autre monde et l’enterre (les Thái blanc) ou l’incinère (les Thái noir). Puis, on appelle le mort à «habiter» à l’autel des ancêtres.
Vie spirituelle
La culture des Thái est riche et distinguée par rapport aux autres ethnies au Vietnam dont la musique et la littérature représentent des caractéristiques des Thái. Des mythes, des épopées, des contes de fées, des récits en vers, des chansons populaires,… sont des trèsors sans prix ceux que les Thái bien préservent. Ils a les écrits sur le papier ou la feuille depuis les temps immémoriaux. Les accessoires de la musique traditionnelle sont variés comme la flûte de Pan, la flûte, le gong, le khắc luông. La danse de xòe et la danse de perches sont bien préférées non seulement par les Thái mais encore par les autres, y compris les voyagers étrangers.
Une spécialité excellante que chaque visiteur doit essayer c’est la gastronomie, qui unit le goûte de la rivière à celui de la forêt. Le riz gluant cuit dans un tronçon de bambou ou cuit au bain-marie teint de cinq couleurs naturelles peut « séduire » les personnes les plus exigeantes.
La fête de Nouvel An lunaire des Thái est similaire à la celle des Kinh (des Việt). Les Thái célèbrent le jeu de boules d’étoffe, l’étoupie, la danse de perches, le concours de l’arbalète,… Les Thái noirs fêtent l’anniversaire de la mort du premier ancêtre au mois de juillet ou d’août lunaire.
Les Thái présentent au Vietnam depuis les temps très immémoriaux et leur propre culture contient beaucoup de choses secrètes à découvrir!
Vie matérielle
Les Thái habitent dans la maison sur pilotis en bambou ou en bois entourée de claies ou de planches. Le toit de la maison des Thái Noirs affecte la forme d’une carapace de tortue (tụp cống), avec des antéfixes appelées khau cút qui sont rapportés aux deux extrémités du faîtage. La celle des Thái Blancs sont rectangulaires et agrémentées d’un balcon sur la façade ou tout autour. Dans chaque maison, on a deux cuisines, l’un pour accueillir des visiteurs et pour se réchauffer, l’autre pour préparer des repas.
Les Thái ont jadis cultivé le riz inondé avec un système hydraulique achevé pour arroser tous les champs. Le riz non-gluant fournit la nourriture principale mais le riz gluant est l'alimentation traditionnelle et indispensable dans les offrandes rituelles. On cultive aussi des cotonniers, des plants tinctoriaux et des mûriers afin de produire des tissus traditionnels et tout à fait naturels. Les Thái pratiquent la culture du riz, du maïs, de la patate douce, de la cucurbitacée,… sur les champs en terrasse. A côté de l’agriculture, les Thái sont bien connus pour des artisanats, notamment le tissage celui que les femmes Thái sont obligées d’être expertes.
Les femmes Thái habillent une jupe longue, noire, une courte veste fermée sur le devant par un rangé de boutons en argent de forme de papillon, d’araingnée, de cigale,… Elles portent aussi un turban teint indigo puis brodé qui présente la culture spirituelle des Thái et l’habileté de la femme. Les vêtements des hommes sont plus simples que ceux des femmes, y compris une veste (courte ou longue), un pantalon, une ceinture et un turban.
Vie familiale et sociale
Les Thái regroupent dans les bản (village) de 40-50 foyers, celui qui se situe près des ruisseaux et des champs rizières. Chacun a trois relations principales dans leur lignage : Ai Nọong (des frères), Lung tá (famille alliée), Nhinh xao (des beaux-fils).
La famille des Thái est patriarcale mais matrilocale. Le mariage traditionnel se compose de deux rituels principaux tels que đong hưn (le marié habite chez la mariée) et đong lông (les mariés et leurs enfants habitent chez le marié). Premièrement, le conjoint vit avec la famille de sa femme après les fiançailles, pendant de 8 à 12 ans et il prouve sa dignité et sa compétence de travail. Deuxièmement, deux familles organisent la noce mais cet homme peut « voler sa femme » pour diminuer des offrandes ou des rites.
Les funérailles des Thái en général sont bien compliquées en passant des variés rites. Tout d’abord, on reconduit l’âme du mort à autre monde et l’enterre (les Thái blanc) ou l’incinère (les Thái noir). Puis, on appelle le mort à «habiter» à l’autel des ancêtres.
Vie spirituelle
La culture des Thái est riche et distinguée par rapport aux autres ethnies au Vietnam dont la musique et la littérature représentent des caractéristiques des Thái. Des mythes, des épopées, des contes de fées, des récits en vers, des chansons populaires,… sont des trèsors sans prix ceux que les Thái bien préservent. Ils a les écrits sur le papier ou la feuille depuis les temps immémoriaux. Les accessoires de la musique traditionnelle sont variés comme la flûte de Pan, la flûte, le gong, le khắc luông. La danse de xòe et la danse de perches sont bien préférées non seulement par les Thái mais encore par les autres, y compris les voyagers étrangers.
Une spécialité excellante que chaque visiteur doit essayer c’est la gastronomie, qui unit le goûte de la rivière à celui de la forêt. Le riz gluant cuit dans un tronçon de bambou ou cuit au bain-marie teint de cinq couleurs naturelles peut « séduire » les personnes les plus exigeantes.
La fête de Nouvel An lunaire des Thái est similaire à la celle des Kinh (des Việt). Les Thái célèbrent le jeu de boules d’étoffe, l’étoupie, la danse de perches, le concours de l’arbalète,… Les Thái noirs fêtent l’anniversaire de la mort du premier ancêtre au mois de juillet ou d’août lunaire.
Les Thái présentent au Vietnam depuis les temps très immémoriaux et leur propre culture contient beaucoup de choses secrètes à découvrir!